Il me semble que le problème principal de ce type de produit dérivé réside aussi dans des erreurs de modélisation ayant abouti à sous-estimer les différentes relations entre « tranches » de risques.
Or, c’est cette modélisation qui permet d’évaluer la distribution des payements à effectuer par les deux intervenants.
Si le régulateur doit jouer son rôle, il ne peut agir de façon « bête et méchante » en instaurant une marge à constituer (par exemple) sortie de nulle part...chose actuellement mise en pratique pourtant.
Pour une approche mathématique de la chose (le cas d’AIG y est d’ailleurs repris), je conseille ceci :
2009. Donnelly, C., Embrechts, P. :
The devil is in the tails : actuarial mathematics and the subprime mortgage crisis
http://www.math.ethz.ch/ baltes/ftp/papers.html