à l’auteur
Intéressant, mais vous ne concluez rien.
En somme, il y a le fond et la forme.Il y a, je le crois bien un sens fondamental du bien commn républicain dont le respect peut être le fait de n’importe quelle forme de gouvernement, du moins en théorie. Ceci résultant de la culture morale de chaque époque. Ce qui correspond assez aux appels qu’on a,de nos jours, en faveur d’une morale démocratique et écologique.
Au long de l’histoire, on a voulu s’attacher de plus en plus à la precision de la forme, pour éliminer (sorte de principe de précaution), toute potentialité de détournement d’ un « bon gouvrenement ».
Ceci, si je peux me permettre de vous résumer un peu sèchement.
Implicitement, il semble ressortir de votre brève analyse de l’histoire, que la progression dans la forme institutionelle n’aurait pas vraiment fait progresser le fond moral de l’humanité. Ce pourquoi, de nos jours, devant les catastrophes sociales et économiques,
on entend surtout des appels à la bonté, à la solidarité, à la fraternité etc.. etc...
Toute une sentimentalité à laquelle on a bien du mal à croire et à espérer..
Alors certains appellent à une révolution dans les moeurs et dans le caractère de l’humanité, d’autres pensant, comme toujours, qu’il faut et suffit d’éliminer les méchants
pour retrouver un bon gouvernement.
Moi non plus, je ne concluerai pas.