Suite à un problème informatique des hyperliens n’apparaissent pas dans le chapeau de mon article ce qui rend ce chapeau moins pertinent. Voici donc le texte du chapeau avec les hyperliens, notamment le lien vers l’article des Verts lui-même.
Le
lecteur voudra bien prendre en compte que je suis un journaliste
sympa et finalement bien respectueux des partis politiques. Le
programme pédagogique des Verts m’a fait verdir de rage bien avant
les élections régionales (le texte officiel des Verts que j’attaque
dans cet article est lui-même paru sur la Toile bien avant les
régionales, comme argument de campagne) et j’ai gentillettement
attendu que ces élections soient closes avant de dire du mal des
Verts. Mais il y a sympa et sympa : maintenant que nos chers Verts
ont pris quelque peu de pouvoir et d’embonpoint au sein des
collectivités territoriales, le simple citoyen que je suis ne
saurait tolérer longtemps qu’ils continuent à proférer des
inepties sur l’Éducation Nationale. Pourquoi me diriez-vous ?
Parce qu’étant de l’Éducation Nationale moi-même, je n’aime
pas les gens qui disent des bêtises sur notre bien vénérable et
bien malade institution. Elle est suffisamment secouée comme cela,
l’Éducation Nationale : ce n’est pas la peine d’en
rajouter. Je passe bien entendu sur les propos très appréciés de
Gaby
Cohn-Bendit, le digne frère de
son frère, qui ne laissera point un souvenir ému au corps
enseignant, et je me contenterai de réfuter pas à pas un
des textes les plus officiels des Verts,
corédigé du reste par l’immense, inénarrable, terrible,
vociféroce et abracadabrantesque Philippe
Meirieu, le plus Vert des
pédagogues. Tiens ! Une preuve de plus que je suis le plus sympa des
profs républicains : je lui fais de la pub !