par curiosité, j’ai été consulter l’interview publiée dans le guardian.
Outre les propos dévastateurs pour les anti-néocons-libéraux,il y a bien un passage où Lovelock évoque la possibilité d’une catastrophe majeure,qui ferait changer l’opinion dans le public(il ne l’appelle pas de ses voeux explicitement en effet)
Il n’en demeure pas moins qu’il suggère très explicitement cette fois de mettre entre parenthèses la démocratie,ce qui, comme il appelle également à construire des centrales nucléaires,serait un bon moyen de se passer des avis « éclairé » des anti-nucs de service