Le point commun entre les protagonistes de cette bande de
charlots, peut-être la grandeur des dents, l’envie du pouvoir mais certainement
pas un changement radical de faire de la politique. Leur leitmotiv : « Il
faut que tout change pour que rien ne change. », Y en a-t-il un seul dans
ce lot qui est pour plus de démocratie participative, pour plus de démocratie directe,
pour rendre des comptes au peuple ? Non, alors demain ce ne sera pas 50% d’abstentionnistes
mais 70% et ainsi de suite jusqu’à ce que nos chaussures dans un élan
salvateur bottent leurs culs d’arrivistes égocentriques !