Un problème largement ignoré actuellement, c’est que les revenus financiers (dividendes) ne sont pas attribués à tout le capital d’une société, mais seulement au capital sous forme monétaire.
Or le principal capital d’une entreprise n’est aujourd’hui pas comptabilisé sous forme monétaire : je parle du capital humain, des compétences et du savoir-faire.
Dans un vrai capitalisme, tout salarié représente une part du capital, et doit recevoir le droit de vote en assemblée général et le dividende qui correspond,au prorata de sa valeur.
C’est facile à estimer : les assurance-vie le font quotidiennement et leurs barêmes sont acceptés par tous.