Bonjour, Georges.
Vous avez raison de relativiser le phénomène, s’agissant des étudiants. Cela dit, certains d’entre eux remettent ça tous les jeudis avec une régularité d’horloge. Rien de bien grave toutefois si cela ne débouche pas sur de graves crises éthyliques.
L’alcoolisation des gamins plus jeunes est en revanche un vrai problème.
D’accord également pour ne pas tuer l’esprit festif pour des motifs hygiénistes. A cet égard, les apéros géants qui ont réuni quelques milliers de personnes à Rennes puis à Brest avant que l’idée soit reprise ailleurs (Paris en mai) s’inscrivent dans cette recherche de fête et de convivialité. Encore faut-il éviter les débordements et, sur ce plan, force est de reconnaître que l’équation n’est pas simple à résoudre pour les autorités.