S’il semble logique de défendre les droits des salariés de Nice-Matin (typographes, metteurs en page, photographes, correcteurs, etc...), je ne lèverai certainement pas un ongle pour sauver ce torchon, qui a toujours été à la botte de tous les pouvoirs qui se sont succédés à la tête de Nice, et du Conseil Général, depuis le voyou Jacques Médecin, jusqu’à l’actuel fascistoïde motodidacte.
Que Nice-Matin crève, et que les salariés, avec de VRAIS journalistes, produisent enfin un journal respectueux de la vérité, des intérêts des niçois ; bref, un vrai journal, avec de vrais morceaux de vraies informations dedans..