J’aime bien votre texte, hors des clous. Il a une dimension « respirante » pour employer un néologisme aéré
Je vous suis très bien sur l’opposition de « vous avez des solutions ? » à toutes les critiques, sur l’éternel mode « la critique est facile, l’art est difficile ». Et aussi sur le manque de vision intégrée, globalisante, qui prévaut dans l’abord de nombreux dossiers. Et enfin sur la nécessité d’un consensus du rejet.
Ce n’est peut-être pas « ensuite » que viendront les propositions : elles sont déjà là, à l’état d’ébauches, d’esquisses, nous donnant une impulsion pour dire l’intolérable. Vous ne croyez pas ?
Bien cordialement.