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ddacoudre ddacoudre 3 juin 2010 22:53

bonjour dugué

va pour la conclusion, mais il n’y a pas de crise où alors il faut dire que la vie est une crise.

l’on comprend bien le sens et l’utilisation de ce terme sauf que quand il est un élément constant d’un processus linéaire qui se réajuste il appartient au tout,car tout modèle déterministe est insuffisant pour réguler l’existence et nos activités, et se réajuste aux événements aléatoires. nous savons que l’analyse de gauss est fausse elle échoue toujours.
au moyen âge la science a du s’émanciper de la théologie qui l’emprisonnait, cela a demander du temps et des vies.
nous nous allons devoir nous émanciper des mathématiques
aujourd’hui nous savons que notre existence n’est pas déterministe,mais aléatoire. cela rend la réflexion un peu plus compliqué pour comprendre nos évolutions.
la science qui rend le mieux cette complexité est la mécanique quantique. mais nos esprits ne sont pas prêt à cela, pourtant elle n’en est que le produit, pour la démocratiser il nous faudra créer de nouveaux mots dont je n’ai aucune idée car ceux qui servaient a décrire le monde de hier et d’aujourd’hui sont insuffisants. nous le voyons bien quand tu essaies de définir nos difficultés avec le mots crise, où en situer le début. juste un exemple en mécanique quantique, une particule peut être à plusieurs endroit, en économie le même homme est en plusieurs endroit, il est celui qui produit, qui consomme et épargne, il est en toute ignorance celui qui construit en amont les conditions qu’il subira. il est le spéculateur qui crée la dette dont il se plaind car en amont il a créé les conditions de cela (1973).
alors qu’il n’y a pas de début de crise elle est parie intégrante du modèle, c’est comme si tu faisais une compétition et que tu considères le dernier comme une crise.

aujourd’hui il nous faut nous émanciper le l’abus d’autorité des modèles mathématiques en matière économique qui emprisonnent toutes innovations.
ils sont devenus les paramètres « théologiques » d’une religions faussement libérale qui a constitué son clergé.

il est amusant de constater que l’homme à inventé un dieu inaccessible, comme source de stabilité socio-économique, et ceux mêmes qui ont voulu s’en émanciper ont fini par construire un autre « dieu » tout aussi inaccessible puisqu’il se trouve dans l’irréfutabilité des mathématiques.
il est devenu impossible de les réfuter car elle construisent aussi la pensé logique et rationnelle.
leur utilité n’est pas contestable dans les réalisations technologiques, pour fournir des repères, des mesures fiables qui servent de guide à nos décisions, mais delà à leur aliéner notre existence il y a un pas que nous avons franchi en pensant comme pour un dieu y trouver notre salut.
 la conséquence même de la financiarisation de la société a produit ses effets, nous ne sommes pas face à une crise mais dans la logique d’un processus de circulation de monnaie qui n’est pas adapté aux besoins de nos existences mais à un modèle comptable, ce que souvent j’appelle le dominant systémique, car c’est lui qui rationalise nos actions et y justifient nos comportements, comme tu le soulignes très justement.

la situation ne peut pas aller en s’améliorant, beaucoup d’hommes politiques et autres le savent, or ils ont l’esprit tellement bloqué par la pensé unique, qu’il leur est impossible d’entrevoir que l’on puisse développer une autre richesse que celle issus de la compétition des produits manufacturés.
leur raréfaction va certainement nous entrainer dans des conflits ; et nous sommes incapables de voir que la seule richesse perpétuelle sur laquelle nous pouvons compter est notre cerveau, nous passons notre temps a l’atrophier pour le maintenir dans le cadre consensuel financier, alors qu’il faudrait l’ouvrir a la créativité comme tu l’écris. quand j’ai pour la première fois émis l’idée de réclamer la cinquième semaine de congé,(1974) même dans mon organisation ils me prenaient pour un fou.
et bien aujord’hui il faudrait créer des universités pour adulte, nous avons la place pour cela et non comptent de relancer une activité économique plus sérieusement que des stades de foot, il faudrait que ces périodes soient rémunérés et la monéthique en seraient le financement.

j’abrège cordialement.
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