De fergus je cite : "qui vivent sur notre sol et que l’on parque trop fréquemment à l’écart
des villes, dans des camps de nomades improbables et trop souvent
indignes. Un traitement choquant,"
Ces gens là, je les ai connu et servi lorsque je vivais en Irlande du côté de Shannon. Tout comme j’ai connu leurs semblables roumains. Et je peux vous dire que votre citation est archi-fausse.
Il y a une constante chez les gens du voyage, un refus d’insertion. Le mode de vie chez eux ne s’accomode en rien du notre.
Ils sont différent voila tout et il faut savoir l’accepter. Après tout rien ne dit que nous avons raison.
Nous ne savons pas nous adapter à eux, et ils seront éternellement condamnés à rester en périphérie des villes. Nos centres ne sont pas conformes à leurs attentes non plus.
Laissons le vivre comme ils peuvent même si des tensions sont succeptibles de naitre parfois.
A peluche