Entièrement d’accord avec Verdan.
Juste y ajouter que les états, s’ils étaient autorisés à émprunter aux « taux ridiculement bas » des banques centrales, seraient certainement beaucoup moins endettés.
Le problème n’est donc pas des taux d’intérêt trop bas des banques centrales ; il est dans le fait que les états sont obligés, eux d’emprunter aux banques privées qui, au passage, réalisent d’énormes bénéfices.
En un mot comme en mille, les problèmes viennent du système de création monétaire, qui a été retiré aux états (d’où leurs dettes), et que l’on fait obligatoirement transiter par les banques.
Monsieur Santi n’est-il pas assez intelligent pour comprendre ça, ou bien joue-t-il au « naïf » volontairement, pour mieux détourner le problème ?