La prise de position de Bowen s’explique par le fait que qui fournissent les machines à voter contribuent aussi aux caisses électorales. Comment alors s’assurer que les machines ne seront pas truquées ?
Je suis tout à fait d’accord avec le maintien d’une preuve papier du vote, couplé à une procédure de contre-vérification (recomptage d’un échantillon alléatoire des votes papier pour fin de comparaison avec les résultats du vote électronique). Souvent, on confond le confort de l’électeur avec l’allègement du nécessaire « inconfort » des scrutateurs qui doivent compter les votes tout en s’assurant que chaque vote est valide.