Disons que je suis assuré de survivre jusqu’à la fin de mes jours sans finir à la rue (merci la famille avant tout), mais je comprends très bien ce qu’a justement exprimé l’auteur. Le sentiment de devoir faire des boulots pas intéressants, précaires et mal payés, de pouvoir faire autre chose sans pouvoir y arriver, mélangés avec le fait d’avoir par la force des choses du temps pour soi, autant de choses familières.