Ce qui est affligeant, c’est d’entendre la gauche réclamer le statu quo actuel et en même temps dire que passer à 62 ne résoudra même pas le problème de son financement.
Seul vrai cheval de bataille, c’est l’espérance de vie des travailleurs de force et donc une retraite adaptée à la pénibilité, sans condition d’état de santé, c’est une question de dignité humaine et d’honnêteté intellectuelle