S’il n’y avait pas trois solutions pour éviter la faillite de notre système de retraite, et deux ans de plus, ce n’est pas un effort insensé, le GVT s’est montré fort avec les faibles et faible avec les forts. Il y avait de la marge pour les régimes spéciaux à qui on pouvait légitimiment demander un geste de solidarité vis à vis des salariés ayant travaillé dans ses conditions de pénibilité avérée.