L’attitude mercantile de L’Equipe a eu au moins un mérite : révéler à la face du monde l’incroyable et pathétique pourrissement du football français, miné de l’intérieur par les intérêts de quelques vieillards fédéraux, la nullité récurrente d’un sélectionneur imposé par son ami Platini et le comportement clanique d’une poignée de caïds avides de fric et d’une rare débilité intellectuelle.
Un grand coup de balai s’impose !