Reconnaissez quand même les amis que Roselyne, avec ses yeux chassieux et son visage botoxé nous a donné de voir un bon moment de théâtre. Ah, son plaidoyer larmoyant, son appel aux sentiments nobles de nos cailleras friquées, j’entendais jouer les violons... submergés par les vuvuzelas.
Sur un autre sujet « les voyoux qui ont tiré contre les policiers et qui sont jugés à Pontoise » attendons le verdict. Mais j’ai bien peur qu’il soit clément.
@Non666, je ne pourrai jamais m’entendre avec les rouges. Ils ont la traîtrise dans le sang. S’allier avec eux c’est se condamner.