je suis le fils d’un colon d’afrique et tous les soirs mon père tuait une petit noir dans le village d’en bas et on l’accommodait aux petit oignons pour le manger.
J’en suis rétrospectivement repu.
Ce n’est pas, c’est sûr, du trop de l’intelligence que nous mourons, mais des trops du manque de son exercice.