Effectivement, sans faire un jugement de Salomon, il semble bien que les torts soient partagés. Au moins. Car le déclancheur de cette affaire est bien « l’incivilité » répétée de ces chers bambins.
Nous sommes toujours là dans les effets ravageurs de « l’interdit d’interdir » et de la perte d’autorité généralisée de l’adulte sur l’enfant roi protégé par des parents copains irresponsables. Que cette situation provoque ça et là des dérapages, il n’y a que les médias et les bien-pensants pour faire semblant de ne pas comprendre.