Tout tue, la vie tue.
Là n’est pas le problème, il n’y a aucun problème à vivre en tuant un poisson qui a tué une crevette.
Mais pour vivre, a priori, l’homme n’a aucun besoin de tuer l’homme, à moins d’être cannibale.
C’est le meurtre de l’homme qu’il faut régler. Et pour le régler alors qu’il dure depuis qu’on n’est plus cannibale, il faut concentrer notre attention dessus. Une seule loi suffit : « Ne jamais tuer, forcer, blesser, emprisonner, torturer un être humain ni lui dénier son appartenance à ce genre »
La concentration de notre tabou sur cet unique interdit, en excluant toute protection de concepts, peut changer considérablement la face du Monde.