Woerth, ce n’est pas l’Immaculée Conception, c’est l’incarnation de l’immaculée corruption que les tenants du pouvoir défendent bec et ongles contre toute « évidence » pour protéger Sarkozy.
Ce faisant, ils prennent un risque énorme, car si Woerth saute, ce ne sera pas un simple fusible qui aura fait long feu comme les deux autres qu’on a remplacé récemment, car vu le remue-ménage médiatique et juridique, ainsi que le remue-méninges populaire autour de ce pourrissement institutionnel, c’est bien le disjoncteur de l’Elysée qui peut se mettre en stand by, et ce n’est pas l’écran de fumée des relances nationalistes au gré opportun des faits divers qui suffiront à « escamoter » cette affaire d’Etat !