"A quoi bon vouloir remplacer un moyen le transport aérien trop coûteux,
et nuisible à l’environnement, par un moyen de transport ferroviaire à
grande vitesse qui s’avère couteux, nuisible à l’environnement, et
susceptible d’accentuer la fracture sociale ?« : La réponse se trouve dans la question... Le TGV permet des liaisons plus rapide que l’avion, réduit considérablement les nuisances sonores des aéroports, et ne rejette que peu de CO2... En prime, on arrive au centre-ville (ou proche) et non à trente kilomètres de sa vraie destination avec les frais de navette ou de taxi que cela engendre...
»Même Guillaume Pepy directeur de la SNCF, reconnait que le prestige de
la grande vitesse ferroviaire ne suffit plus pour élargir la clientèle
du TGV, et que les usagers sont en demande de services. « : La nouveauté ne suffit plus, c’est vrai. Mais en quoi la demande de nouveaux services (qui se dévelloppent de plus en plus) est-il le symptome d’un quelconque rejet ?
»Cela suppose la reconnaissance du bienfait d’une politique
d’écoproximité autant des marchandises que des personnes, politique dont
le principe d’écosolidarité, et d’équité sociale, aille à contre sens
des tendances expansionnistes du capitalisme libéral qui tend à la
recherche d’une mondialisation sans fin, sans limite et de plus en plus
accélérée de la mobilité des marchandises, des personnes, du travail et
des capitaux, et des possibilités de profit infini que cette mobilité
procure. " : Je vois un peu mieux le vrai fond de l’article... Vivre et travailler au pays... Et pour les réfractaires, le camp de rééducation ?