Hyperactivité : ce sont des labos qui l’ont inventé.
Que des psychiatres s’en fassent l’écho, c’est criminel.
Pour en revenir aux médicaments, c’est vrai que les effets secondaires sont redoutables mais ils restent souvent le seul moyen d’aborder des patients en rupture totale.
Le seul moyen je ne pense pas.
Il faut des thérapeutes formés en plus grand nombre mais leur activité n’est pas clairement chiffrée comme peut l’être une prothèse de hanche pour un chirurgien.
La psychiatrie, quoi qu’en disent ses détracteurs, est le parent pauvre de la médecine.
Si c’était le contraire, on verrait beaucoup plus de cliniques privées pour s’occuper des psychotiques or, dans leur grande majorité, les cliniques privées prennent plutôt en charge les depressions. Ce n’est pas du tout la même difficulté.