Comte-Sponville, un être séduisant, dans toutes les couleurs et les faces du terme.
La spiritualité poserait elle des questions quand la religion (ne) donne (que) des réponses ?
Question à Comte-Sponville (et aux autres) : d’où les religions tiennent elles leur programme ? Ou, dit autrement : qu’avons nous, en nous, en l’Homme, d’universel et éternel à la fois, qui amène certains à construire des hypothéses qui deviennent des religions ; puis d’autres, ensuite, à s’interroger sur ces mêmes hypothéses ?