@ aberlainnard : j’ai dit ces chiffres vaguement de mémoire, et croyait peut-être dire une énormité. Sinon d’accord.
@ rastapopulo : Ce qui me gène avec le nucléaire, c’est qu’une centrale n’est pas un milieu clos. Il y a des rejets liquides, solides, gazeux. Par exemple pour le gaz, il y a une norme qui fixe la quantité maximale de gaz pouvant être relâchés, mais elle est annuelle. En exagérant, on peut dire que les responsables d’une centrale peuvent relâcher la quantité maximale (en cas d’urgence) en une journée, tout en restant dans la norme (les choses ont peut-être changées depuis).
De plus, respecter toutes les normes de sécurité coute énormément d’argent et pour rendre le prix de l’électricité acceptable, ce sont ces couts là que l’on réduit (voir aussi les intermittents du nucléaire).
pourquoi ne construit-on pas de centrales au cœur des villes et les huiles d’areva, d’edf, des ponts et chaussées,... n’ont-ils pas de villas juste à coté des centrales (je soupçonne les dirigeants des centrales d’éloigner leur petite famille, le plus loin possible).
@ Croa : j’espère sincèrement que vous ayez raison et que je m’illusionne. Il est des fois ou avoir tord est une satisfaction. Moi, je ne suis pas borné, si on me démontre que je me trompe et bien, je change d’avis.
L’intérêt de ceux qui profitent de la situation actuelle ne serait-il plutôt pas de maintenir l’illusion le plus longtemps possible ?
C’est au pied du mur que l’on verra le mieux le mur.