La réponse de votre médecin est théoriquement juste et circule beaucoup dans le milieu médical. Mais à quoi sert d’avoir « bon » face à une personne qui n’est pas venue pour prendre un cours de philo mais obtenir une solution à sa souffrance ?
La première règle en prescription est d’évaluer le rapport bénéfice/risque pour le patient. Il semble très favorable au Baclofène et, effectivement, on ne peut pas en dire autant des benzodiazépines...
Au delà des intérêts des labos, c’est aussi des habitudes, des frilosités qu’il faut bousculer. Et la dépendance au médecin habituel en fait partie.
Vous avez eu raison d’en changer.