Ah, et puis une autre encore (car je lis et relis ce texte, le votre, qui me touche à trés fond) vous écrivez « Elle vous a aimée puisque j’ai un frère... » ; votre subconscient aurait-il pris la main à cet instant et le pronom qui se féminise pourrait alors être révélateur d’une histoire intime enfouie, mal en fuit (puisque vous semblez aimer les jeux de mots). Ou bien êtes vous plus femme que rédactrice en cet instant ? Ce qui ne préjuge en rien de l’absence des doigts invisibles des Dieux de l’Olympe, Aphrodite et Eros, manipulant ainsi à travers vous, votre texte.
A d’autres « Champs Elysées ».