3euros, c’est effectivement ce que peux actuellement dépenser un smicar pour une heure de travail. C’est ce qu’il lui reste après le rapt fiscal. Le problème, c’est qu’en plus il aura couté enriron 15 à 20 euros à l’entreprise qui l’emploie. Donc, les produits de cette entreprise seront trop cher pour lui, et pour quantité d’autres. Cette entreprise risque donc de disparaitre. La solution qui est souvent alors choisi : la délocalisation !
Pour le smicar, il ne reste que ces yeux pour pleurer, et la compassion bien-pensante et démagogique des beaux parleurs étatistes. Un pauvre, au fond du gouffre, c’est top pour justifier la CMU, le RMI, les HLM. Et qu’est-ce que c’est bon pour l’égo.