Il y a comme une impression, comme ça, de refus de débat ouvert, positif, où chacun peut exposer sa vision des choses. J’ai livré en mon âme et conscience le dilemne de jeunes Arabes de ma génération. Tant pis si vous ne voulez pas l’écouter, si vous préférez continuer à assener des vérités qui vous réconfortent mais qui à nos oreilles grincent comme la plus raide des langues de bois.
Sans rancune