Cet article mentionne un document d’Amnesty International, intitulé « La terreur en Casamance » et publié en janvier 1998. Ce document dénonçait les violations et atteintes aux droits humains commises par les deux parties au conflit, à savoir les forces de sécurité sénégalaises et les éléments armés du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC).
Amnesty International ne prend pas position sur l’actuel processus d’élection à la présidence de l’Organisation internationale de la francophonie.