En géographe, j’ai tenté d’expliquer comment fonctionnent les ports pétroliers construits et financés puis à demi-modernisés par l’Etat. Au risque d’être traité par mes contradicteurs de tous les noms d’oiseaux...
Parce qu’ils n’ont aucun argument solide.
Le ’libéral’ que je suis constate en tout cas, « Parisien » à l’appui, la double menace qui pèse sur la France : la médiocrité des élites françaises (leaders syndicaux compris) et le corporatisme.
http://www.leparisien.fr/marseille-13000/marseille-les-patrons-ironisent-sur-le-metier-de-grutier-11-10-2010-1104961.php
L’extrait concernant Mme Parisot vaut son pesant d’or, qui justifie la
contre-publicité du grutier de Fos payé 4.000 euros par an pour 8
semaines de travail. Que connaît-elle de la dureté du travail manuel ? Rien. Et pourtant :
« »« Ce n’est pas de la provocation », estime Laurence Parisot, la
présidente du Medef, sur France Info. « C’est une façon de dire :
Attention, le port de Marseille est en danger », analyse-t-elle... « »