« Comme si Dorian Gray et son portrait se côtoyaient. » C’est justement le sort de Dorian Gray que d’avoir été rattrapé par son destion et son portait. Je suis en trian de lire le Portrait de Iain Pears sur la relation d’un peintre et d’un critique, et cela me fait tout à fait penser à l’ambaince décrite dans ton billet