1) H. a vu dans Hitler celui qui « reconciliait » la technique moderne et la visée destinale de l’être allemand ; ce qui n’est pas très loin de la justification du génocide, en effet, techniquement très efficace.
2) il n’a jamais developpé de position auto-critique claire vis-à-vis du génocide
3) Il est resté membre du parti nazi jusqu’à la fin
4) Son regret est peut-être qu’il n’a pu jouer le rôle de penseur radical et radicalement antilibéral du nazisme qu’il révait être...
Voir dans mon intervention plus loin les ponts que l’on peut faire entre son anti-philosophie critique révélée et le côté illuminé (berger de l’être), anti-individualiste et anti-libéral du nazisme.