Pas tout ; il a aussi copié Husserl.
Sartre a réussi le tour de force de se compromettre avec le nazisme, faisant jouer ses pièces sous l’Occupation et succédant à un prof juif révoqué au lycée Condorcet, puis de donner dans le stalinisme.
Si la pensée « Jamais nous n’avons été plus libres que sous l’occupation allemande. »
Jean-Paul Sartre, « La République du silence », Les Lettres Françaises, 9 septembre 1944 [repris dans Situations, III], peut s’interpréter comme liberté de résister ou liberté d’être un salaud-collabo, que dire de celle-ci :
« Le citoyen soviétique possède, à mon avis, une entière liberté de critique. »
Jean-Paul Sartre, Libération, 15 juillet 1954.
Après la guerre, Sartre avait eu le culot de traiter de salaud un prof allemand qui aurait accepté de remplacer un juif ...