Parmi les femmes citées, il en est une qui a su tenir sa place de première dame de façon exemplaire et qui est le pilier sans lequel son mari n’aurait pas aussi bien réussi. Bernadette Chirac a fait un « sans faute » dans son rôle d’épouse de président. C’est une super-pro.
On ne l’imagine même pas racontant à M. Obama qu’elle est en retard pour cause de galipette impromptue ou faisant connaître son souci de muscler le périnée de son mari
La classe
En dépit de son déplorable mari et pour avoir su si bien représenter la France, et surtout pour avoir osé déclaré un jour « la repentance, ça suffit » MERCI BERNADETTE