Un sommet sur la biodiversité qui ne fait aucune allusion à la cause première de sa disparition, à savoir la croissance irraisonnée et excessive de la démographie humaine, un tel sommet part sur de bien mauvaises bases. A nier l’origine des maux, on en est réduit à des mesurettes qui au mieux retarderont une inéluctable échéance.
La seule question est de savoir combien de temps il reste aux Tigres : 10 ans, 20 ans ?
Combien pour les grands Singes, les Lions et les Rhinocéros ?
Et au final, combien pour l’espèce qui les suivra : 1 siècle, 2 siècles ?...