Si j’en crois votre article, et votre blog, je comprends que les personnalités de Raoul Follereau et d’André Récipon sont, finalement, assez intéressantes à étudier du fait de leurs paradoxes.
Antisémites, xénophobes, ultranationalistes ... mais également profondément dévouées à une cause caritative. Comme quoi, le christianisme peut mener, à l’intérieur d’un même individu, tantôt au pire, tantôt au meilleur ...