En effet ce n’est pas le grand soir !
Un capitaliste de gauche reste un capitaliste. Celui de droite à au
moins le mérite de ne pas être hypocrite. Il entube les travailleurs et
en est fier.
Qu’un de ces puissants patrons puisse se revendiquer « de gauche » démontre l’immensité de l’abîme idéologique où se vautre la gauche dite de gouvernement.
Il est vrai que la gauche dont il est question ici, à l’exemple de celle de bérégovoy, l’artisan de la « libéralisation » des marchés financiers et de la modernisation de la bourse ne peut que se découvrir de nouveaux amis chez nos exploiteurs partisans de la mondialisation capitaliste.
Même si ceux-ci préfèrent le plus souvent rester discrets afin que le pot-aux-roses de l’abjecte collaboration ne soit pas évident aux yeux de tous.