comme Kouchner ou Amara qui ne se sont jamais posé la question de l’ « après »...
... voire le « comment pendant » !
Naïveté ? J’ai des doutes. A pactiser avec le diable, on devrait quand même deviner où mène « l’ouverture »...
(cf la réplique finale très « inspirée » de Al Pacino, dans L’Associé du diable :
« La vanité est vraiment mon péché préféré »...
Cela dit, qui pourrait jurer que, placé dans les mêmes conditions, ne se serait pas laissé séduire ? Facile, quand on n’a pas été tenté soi-même... Désigner à la vindicte cette seule dame Monchamp comme démonstration de la corruptibilité des élus me semble un peu court.
La corruption est la gangrène de la démocratie, ça nous le savons ; en analyser la mécanique pour comprendre comment l’enrayer me semblerait plus constructif que la lapidation au coup par coup, si j’ose dire, vu que les pierres manquent déjà cruellement à la construction d’un nouvel édifice...