cambrioleurs et dealers doivent être expulsé de Suisse.
D’autre part, les dictateurs, mafiosi et brasseurs d’affaires,
dont l’argent est souvent d’origine douteuse, sont accueillis avec un « Gruezi ».
Cette mentalité, qui consiste à ne prendre que la cerise sur le gâteau,
fait apparaître cette initiative comme un geste effronté, observe le quotidien viennois
. La commentatrice de « Der Standard » considère comme inquiétant que pour la deuxième fois
après l’interdiction des minarets, la xénophobie trouve place dans le droit et la loi.
« Il se pourrait qu’ici, la démocratie directe a échoué sur la haine de l’étranger »,
a-t-elle relevé
Le signal des Suisses appelle une réponse, affirme dans un commentaire la « Süddeutsche Zeitung »
car « les Suisses ont cru pouvoir passer d’un coeur léger sur les accords avec l’UE
et les conventions internationales ». La communauté européenne est aussi une communauté de droit ;
elle ne devrait pas accepter qu’un pays, avec lequel elle est étroitement liée,
se place aussi délibérément en dehors de cette communauté, estime le quotidien allemand