@ Gasty (du 20 à 12 h 10)
Tout est là : les représentants
des religions - et sur ce point ceux du catholicisme sont particulièrement
entêtés - veulent absolument croire que les lecteurs de leurs textes
sacrés qui ne comprennent pas leurs
nuances sont les seuls responsables de l’application qu’ils en font.
C’est pourquoi je répète depuis
des années que
"Les croyants fanatiques passant à l’acte criminel
effectf « ont bon dos », et que les institutions de leurs religions
respectives devraient, dans une société où la justice profane serait réellement
indépendante et objective, assumer au moins partiellement la responsabilité de
leur crime.
Car ce sont bien ces institutions
qui ont indirectement préparé le criminel à son crime en lui enseignant la
prétendue double et incohérente volonté
du Dieu de la Bible et du Coran : tu aimeras ton prochain comme
toi-même et tu le haïras quand
ce sera nécessaire ; tu ne tueras pas et tu tueras abondamment quand Je te demanderai de le faire »pour la bonne
cause« . Dans ce cas-là Je »frapperai d’anathème" le="le" groupe="groupe" ou="ou" peuple="peuple" que="que" tu="tu" pourras="pourras" devras="devras" faire="faire" il="il" sera="sera" mis="mis" ainsi="ainsi" hors="hors" du="du" commun="commun" des="des" mortels="mortels" par="par" la="la" et="et" de="de" respect="respect" contradiction="contradiction" flagrante="flagrante" cessera="cessera">span>
(extrait de "Benoît XVI,
premier responsable de la violence religieuse")