Pour beaucoup, le révolver est moins sur la tempe que sur le porte-monnaie.
Par ailleurs, je pense qu’un certain nombre de « journalistes » cirent les pompes par goût : de tous temps il y a eu des courtisant auprès des puissants.
Reste une petite frange de journalistes courageux... mais les patrons des médias leur accordent-ils les moyens de travailler ?
Après il reste internet, avec du bon et du moins bon (il est recommandé d’avoir un cerveau fonctionnel pour faire le tri), mais libre pour combien de temps encore ?
En tous cas, comme Gabriel : je remercie Olivier pour ses articles bien documentés