Bonjour, Aafrit.
Merci pour votre commentaire, et notamment ce passage du roman « Les raisins de la colère » qui résume bien le propos de ce formidable livre.
A noter qu’un peu plus tôt, Steinbeck écrit : « Vous qui n’aimez pas les changements et craignez les révolutions, séparez ces deux hommes accroupis. Faites-les se haïr, se craindre, se soupçonner... » Une leçon qu’avec cynisme ont retenu les gouvernants et qu’appliquent tous ceux qui, dans notre société, encouragent l’individualisme en pointant un doigt accusateur sur les mouvements associatifs ou partisans qui, eux, prônent la solidarité et l’entraide.