Pour l’auteur, j’hésite entre populiste et bisounours. Au pire, la population peut crever avec ou sans « élan », ceux qui détiennent le pouvoir n’en ont rien à cirer, au contraire !
Au mieux, quoique, ils pourraient bien s’arranger pour donner gratos du pain et des jeux à ce qui ne serait plus que du bétail humain : réservoir d’esclaves, d’organes et de ventres.