oui c’est ça, mais j’aime concevoir la résilience comme une aptitude qui ne se cantonne pas à cet aspect ombre et lumière, conscient-inconscient, mais qui est plus globalement un équivalent de l’adaptabilité.
Je préfère alors le mot résilience à adaptabilité, car il a une connotation plus complexe, et fait résonner la dimension de la gestion du mal, de la douleur.
La résilience « antrhopologise » l’humanité, en rendant son concept moins dangereux car plus humain justement.
L’humain est trop humain comme disait Nietzche, mais la société ne l’est pas assez je trouve.