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Ferdinand_Pecora 14 janvier 2011 16:20

Tout cela a commencé aux Etats-Unis en mai 2009 : relayant l’avertissement du démocrate Lyndon LaRouche, seul Jacques Cheminade avertissait que Obama ressuscitait le programme T-4 d’Adolf Hitler. A l’époque, que n’a-t-on pas dit sur ceux qui mettaient une moustache à Obama .

La réforme de la santé d’Obama intégrait le triage humain par la House Resolution 1233. Le quotidien Politico, distribué gratuitement dans tout Washington, avait exposé cette politique de triage humain en donnant la parole à l’ancienne lieutenant-gouverneur de l’Etat de New York, Betsy McCaughey, qui dénonce la section 1233 du projet de loi Obama. Cette clause obligera les assurés du programme Medicare (les plus de 65 ans et les malades chroniques) a subir tous les cinq ans une consultation sur la fin de vie. «  Bien que le projet de loi présente cela comme un « service » de Medicare, lorsqu’un docteur ou une infirmière vient voir une personne âgé en mauvaise santé pour soulever ce sujet, ce n’est pas vraiment lui rendre service. Cela s’appelle plutôt faire pression sur les gens. Je ne voudrais pas que cela arrive à mes parents lorsque je ne suis pas avec eux. »

Les Congressistes se sont insurgés et cet article HR 1233 fut retiré de la réforme.

Le 2 novembre 2010, les Démocrates n’ayant pas eu les tripes de réinstaurer le Glass-Steagall (la fin de Wall Street et de la spéculation sur la mort, comme sous Roosevelt), les Républicains et un Obama soutenu par Wall Street avaient donc les coudées franches pour faire passer par la petite porte cet ignoble HR 1233, par une directive décrite aux pages 73406, 73613 et 73614 du Registre fédéral, by-passant le Congrès. Mais c’était sans compter sur la force de frappe du Démocrate rosoeveltien Lyndon LaRouche qui dénonça la chose à l’échelle internationale. M. Barack Obama fut obligé de reculer et de retirer sa réglementation.

Reste que tant que Barack Obama n’aura pas été viré de la Maison Brune, pardon, Blanche, via le 25è amendement section IV de la Constitution, le monde continuera de glisser sur la pente des politiques de l’Allemagne des années 30.

Pour sortir de cet enfer, une seule solution : réinstaurer partout le Glass-Steagall et revenir au crédit productif public dans le cadre d’un nouveau Bretton Woods.


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