Bel inventaire, et il est difficile de croire que les soupes qui sont servies en ce moment soient réutilisées dans 50 ans.
Dans 50 ans ils ne seront toujours pas libres de droit, puisque maintenant c’est 70 ans (bientôt 90) après la mort du dernier gus qui a pensé à acheter les droits.
Évidemment ce ne seront pas les publicitaires qui achèteront de la daube. C’est plutôt le quidam qui organise un concert avec ses potes et l’annonce dans le journal du coin. Faut bien que la SACEM vive...