Kookaburra, j’ai parlé d’un cas plus haut. Il s’agissait de ma femme, plus jeune que moi. Si elle m’avait demandé à l’aider à partir, et que les médecins... enfin...oui...bon, au dernier moment ils se dérobent (pas tous) , eh bien je l’aurais fait. Je l’ai même annoncé à un chef de clinique, professeur, d’une unité de soins palliatifs, en disant que je savais ce que je risquais. Ce fut un moment particulièrement pénible, où elle paraissait condamnée à brève échéance, et où elle s’est « remise sur les rails » toute seule.... provisoirement.
Ah les « soins palliatifs », ils pallient... très approximativement ! Quant à l’aide psychologique, elle-même a réussi à en rire.