Il pend au nez de ces officines d’esprit mafieux caché sous des méthodes légales de se voir refuser le remboursement de leurs créances par un tribunal (comme pour les saisies frauduleuses par les banques américaines des maisons de leurs clients).
C’est aussi ce qui pend au nez des spéculateurs internationaux : les dettes des États qui sont pris à la gorge par des taux scandaleux ne méritent pas d’être remboursées tout comme celles des crédits aux particuliers à 20% d’intérêt.
Et cela va arriver car comment rembourser une dette impossible à rembourser ? Les « procédures de sur-endettement » d’État vont se multiplier et comme les Etats sont souverains, les créanciers iront se faire voir (chez les Grecs ?).